Des velléités pour la biodiversité

La réglementation relative à la reconquête de la biodiversité pousse, depuis 2016, les collectivités et les entreprises à agir pour sa sauvegarde. En Seine maritime, les élus ont pris les devants avec le lancement, le 5 septembre dernier, du dispositif Territoire Engagés pour la Nature (TEN). Explication à Notre-Dame de Bliquetuit au sein du Parc Naturel Régional des boucles de la Seine où les élus tenaient une conférence de presse.
Avis aux collectivités qui veulent se parer de la « reconnaissance » TEN : les collectivités de Seine Maritime se lance dans la déclinaison régionale du dispositif gouvernemental TEN porté sur les fronts baptismaux le 5 septembre dernier. Au programme, un long questionnaire d’une dizaine de pages disponible pour les élus de tout territoire qui veut s’engager pour la préservation de la biodiversité. « Toutes les collectivités, quels que soient leurs tailles, leurs moyens, leur niveau initiale de prise en compte de la biodiversité, peuvent candidater » indique leurs promoteurs (conseil régionaux, Agence Nationale pour la Biodiversité, Communautés de communes et quelques entreprises comme GRDF, le carrier Unicem, ou encore Grt Gaz). Pour autant, certains aspects seront vus avec plus de bienveillance : ceux qui sont ciblés, mesurables, et réalisés en partenariat avec le tissu associatif et le public.
Pas de subvention mais de la bienveillance
Les projets sont de tout type : « il peut s’agir d’un atlas de la biodiversité, d’un dispositif d’intervention dans le Plan Local de l’Urbanisme du territoire, de la réduction des éclairages publics... » énumère Didier Peralta, conseiller régional. Les collectivités qui s’engagent ne le feront pas pour des subventions, il n’y en a pas. « Mais il va de soi qu’on regardera leurs autres projets de manière bienveillante » sourit l’édile. L’agence nationale de la biodiversité apportera ses compétences et ses ressources humaines pour aider au montage des projets tout comme le Parc Naturels. Pays où furent signés les accords environnementaux de Paris, la France veut se montrer exemplaire avant le Congrès mondial de la Nature de Varsovie en 2020. La région normande apporte sa modeste pierre.
La réglementation relative à la reconquête de la biodiversité pousse, depuis 2016, les collectivités et les entreprises à agir pour sa sauvegarde. En Seine maritime, les élus ont pris les devants avec le lancement, le 5 septembre dernier, du dispositif Territoire Engagés pour la Nature (TEN). Explication à Notre-Dame de Bliquetuit au sein du Parc Naturel Régional des boucles de la Seine où les élus tenaient une conférence de presse. Avis aux collectivités qui veulent se parer de la « reconnaissance » TEN : les collectivités de Seine Maritime se lance dans la déclinaison régionale du dispositif gouvernemental TEN porté sur les fronts baptismaux le 5 septembre dernier. Au programme, un long questionnaire d’une dizaine de pages disponible pour les élus de tout territoire qui veut s’engager pour la préservation de la biodiversité. « Toutes les collectivités, quels que soient leurs tailles, leurs moyens, leur niveau initiale de prise en compte de la biodiversité, peuvent candidater » indique leurs promoteurs (conseil régionaux, Agence Nationale pour la Biodiversité, Communautés de communes et quelques entreprises comme GRDF, le carrier Unicem, ou encore Grt Gaz). Pour autant, certains aspects seront vus avec plus de bienveillance : ceux qui sont ciblés, mesurables, et réalisés en partenariat avec le tissu associatif et le public. Pas de subvention mais de la bienveillance Les projets sont de tout type : « il peut s’agir d’un atlas de la biodiversité, d’un dispositif d’intervention dans le Plan Local de l’Urbanisme du territoire, de la réduction des éclairages publics... » énumère Didier Peralta, conseiller régional. Les collectivités qui s’engagent ne le feront pas pour des subventions, il n’y en a pas. « Mais il va de soi qu’on regardera leurs autres projets de manière bienveillante » sourit l’édile. L’agence nationale de la biodiversité apportera ses compétences et ses ressources humaines pour aider au montage des projets tout comme le Parc Naturels. Pays où furent signés les accords environnementaux de Paris, la France veut se montrer exemplaire avant le Congrès mondial de la Nature de Varsovie en 2020. La région normande apporte sa modeste pierre.

La réglementation relative à la reconquête de la biodiversité pousse, depuis 2016, les collectivités et les entreprises à agir pour sa sauvegarde. En Seine maritime, les élus ont pris les devants avec le lancement, le 5 septembre dernier, du dispositif Territoire Engagés pour la Nature (TEN). Explication à Notre-Dame de Bliquetuit au sein du Parc Naturel Régional des boucles de la Seine où les élus tenaient une conférence de presse.

Avis aux collectivités qui veulent se parer de la « reconnaissance » TEN : les collectivités de Seine Maritime se lance dans la déclinaison régionale du dispositif gouvernemental TEN porté sur les fronts baptismaux le 5 septembre dernier. Au programme, un long questionnaire d’une dizaine de pages disponible pour les élus de tout territoire qui veut s’engager pour la préservation de la biodiversité. « Toutes les collectivités, quels que soient leurs tailles, leurs moyens, leur niveau initiale de prise en compte de la biodiversité, peuvent candidater » indique leurs promoteurs (conseil régionaux, Agence Nationale pour la Biodiversité, Communautés de communes et quelques entreprises comme GRDF, le carrier Unicem, ou encore Grt Gaz). Pour autant, certains aspects seront vus avec plus de bienveillance : ceux qui sont ciblés, mesurables, et réalisés en partenariat avec le tissu associatif et le public.

Pas de subvention mais de la bienveillance

Les projets sont de tout type : « il peut s’agir d’un atlas de la biodiversité, d’un dispositif d’intervention dans le Plan Local de l’Urbanisme du territoire, de la réduction des éclairages publics… » énumère Didier Peralta, conseiller régional. Les collectivités qui s’engagent ne le feront pas pour des subventions, il n’y en a pas. « Mais il va de soi qu’on regardera leurs autres projets de manière bienveillante » sourit l’édile. L’agence nationale de la biodiversité apportera ses compétences et ses ressources humaines pour aider au montage des projets tout comme le Parc Naturels. Pays où furent signés les accords environnementaux de Paris, la France veut se montrer exemplaire avant le Congrès mondial de la Nature de Varsovie en 2020. La région normande apporte sa modeste pierre.

Morgan Railane