C’est le retour de la Biennale Rouen National Arts à la Halle aux Toiles

Le Biennale Rouen National Arts ouvre ses portes ce 25 mai à la Halle aux Toiles, place de la Basse-Vieille-Tour à Rouen. L’occasion de découvrir 220 œuvres réalisées par 110 artistes.


Sculptures, peintures, photographies et subligraphes, dans des styles extrêmement variés, sont exposés durant près d’un mois. (© Aletheia Press  / L. Bremont)
Sculptures, peintures, photographies et subligraphes, dans des styles extrêmement variés, sont exposés durant près d’un mois. (© Aletheia Press / L. Bremont)

110 artistes et 220 œuvres s’exposent, du 25 mai au 19 juin à la Halle aux Toiles, place de la Basse-Vieille-Tour à Rouen. C’est le grand retour du salon Biennal Rouen National Arts, après une interruption de deux ans liée à la crise sanitaire.

Un rendez-vous qui se veut le plus accessible possible, tant pour la population que pour les artistes. « Nous ne demandons qu’une participation de 90 euros, pour deux œuvres, aux artistes que nous avons sélectionnés. Nous prenons en charge le transport et assurons les œuvres » souligne Gérard Romedenne, président de la Biennale Rouen National Arts. Enfin, comme à chaque édition, six étudiants de l’école supérieure d’art et de design Le Havre Rouen (Esadhar) sont invités.

Avec un accès libre, un catalogue des œuvres offert aux visiteurs, l’exposition se veut à la portée de tous. « Cette année, nous avons également noué des partenariats avec des écoles et des ephad pour toucher des enfants et des personnes âgées » ajoute Gérard Romedenne. Des nouveautés qui sont l’occasion de se réjouir pour l’équipe organisatrice. Même si cette cinquième édition, qui fait la part belle aux sculpteurs, est également teintée de nostalgie. « Nous rendons hommage à trois artistes, Dominique Denry, Bousquet et Laszio Mindszenti, habitués de ce rendez-vous, et malheureusement décédés durant les deux années qui viennent de s’écouler » souligne Gérard Romedenne qui, à l’issue de cette édition, passera la main à Michel Delaunay.

Pour Aletheia Press, Laetitia Brémont